L’année dernière, lorsque j’ai obtenu ma place aux International Photography Awards (IPA), j’étais aux anges J’ai reçu des distinctions dans différentes catégories, et cela a été une validation de mon travail assidu et de mon dévouement. Mais cette année, je désirais davantage ; je visais plus haut, je me poussais encore plus. Je cherchais à surpasser mes réalisations précédentes, animée par un désir inné de perfection.
À l’approche de la cérémonie des IPA Awards cette année, j’étais emplie d’anticipation. Les résultats ont été annoncés, et une fois de plus, je me suis retrouvée sur le podium. J’ai décroché une deuxième place dans la sous-catégorie de la photographie architecturale ‘Autres’, ainsi que deux mentions honorables dans les catégories ‘Nature, Saisons’ et ‘Sports d’Hiver’.
Bien que cette reconnaissance fût indéniablement gratifiante, je ne pouvais m’empêcher de lutter avec des émotions contradictoires. C’est un aspect particulier de la nature humaine, cette quête incessante de plus. D’un côté, elle alimente l’innovation et la croissance personnelle, nous poussant à dépasser nos propres limites. De l’autre, elle peut nous laisser perpétuellement insatisfaits, éclipsant nos réalisations par l’attrait du prochain défi.
Mon parcours aux IPA Awards m’a appris que ce paradoxe fait partie intégrante de qui nous sommes en tant qu’êtres humains. Nous sommes animées par le désir d’exceller, d’atteindre de nouveaux sommets, de créer de l’art qui inspire. C’est un voyage qui se poursuit, et bien que la quête de l’excellence puisse être insatiable, c’est aussi ce qui nous pousse à évoluer constamment, à aspirer à toujours plus, et à repousser les limites de ce qui est possible dans la poursuite de nos passions.

Mes recompenses:

Deuxième prix:
Titre : Floating Catégorie : Architecture – Autres

Mention d’Honneur – Professionnel

Titre : White Gold – A Skier’s Dream Amidst Climate Change Catégorie : Sports d’hiver
Titre : Topaz Water – Catégorie : Nature-Saisons